Face à la complexité de permettre à des musiciens de jouer ensemble à distance, en temps réel, la tentation serait de dire : c’est trop dur, ce n’est pas possible.
Mais c’est justement parce que c’est difficile que cela mérite d’être fait.
Avec MusiCall, on ne cherche pas à tout révolutionner d’un coup.
On avance pas à pas, avec méthode, en se posant une seule question :
Qu’est-ce qui est vraiment nécessaire pour que les musiciens puissent retrouver la magie du jeu collectif, même à distance ?
La réponse, c’est un écosystème simple, pensé pour eux, et non pour les ingénieurs ou les geeks.
Voici notre approche :
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Enlever le superflu : pas besoin d’un ordinateur de compétition. Pas besoin de logiciel à configurer. On veut un boîtier prêt à l’emploi, qui se branche et qui marche.
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Minimiser la latence : en utilisant des méthodes éprouvées dans le monde de la transmission audio professionnelle, adaptées aux contraintes réelles des musiciens.
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Penser utilisateur d’abord : interface claire, zéro jargon, tout passe par une plateforme simple, accessible, même depuis un smartphone.
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Automatiser l’invisible : les connexions, les réglages, les optimisations réseau — tout ça doit se faire en arrière-plan, sans que l’utilisateur ait à y penser.
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Construire une communauté : dès maintenant, avant même que le produit soit là. Car ce projet est pensé pour les musiciens, et avance avec eux.
C’est ambitieux, oui. Mais c’est faisable.
Et surtout, c’est nécessaire. Parce qu’aujourd’hui, trop de projets musicaux sont freinés par la distance. Trop de groupes répètent moins. Trop d’idées dorment dans des carnets faute de pouvoir se concrétiser à plusieurs.
MusiCall, c’est une réponse. Pas la seule, mais peut-être la plus humaine.
Et la plus musicale.