C’est une étape charnière dans l’aventure MusiCall.
Parce qu’à ce moment précis, l’idée commence à prendre corps.
Ce n’est plus seulement un projet sur papier ou un rêve de musicien frustré par la distance : c’est un objet qui commence à exister.
Un choix réfléchi, longuement mûri
Trouver le bon calculateur, le bon cœur pour animer ce boîtier, n’a rien d’anodin.
Il ne s’agit pas d’acheter un simple composant électronique et de le brancher.
Il faut qu’il soit :
-
Assez rapide pour traiter l’audio en temps réel,
-
Assez fiable pour fonctionner sans faillir,
-
Assez sobre pour rester silencieux et compact,
-
Et assez souple pour me permettre de le programmer à ma manière, selon la vision que je porte pour MusiCall.
Et puis il y a le facteur humain : je voulais quelque chose que je maîtrise, que je connaisse bien, avec lequel je sois à l’aise. Car si je dois accorder mon énergie à autre chose qu'à la musique, autant que ce soit au service des musiciens.
Le cœur de la machine est là
Ce composant — appelons-le le cerveau embarqué du boîtier — est désormais choisi.
Il portera toute l’intelligence du système. C’est lui qui écoutera, analysera, transmettra.
C’est par lui que la magie va opérer.
Il sera intégré dans un environnement conçu pour être simple, épuré, robuste.
Le boîtier ne comportera aucun bouton. Tout sera piloté à distance, via une interface web.
Pas de complications, pas de menus incompréhensibles.
L’expérience sera fluide. Instantanée.
Une page se tourne, une autre commence
Maintenant que le cœur est trouvé, je peux avancer.
Commencer à écrire les lignes de code, dessiner les circuits, entendre les premiers sons circuler…
La technique se met au service du musical.
C’est peut-être un détail pour beaucoup. Mais pour moi, c’est le moment où le projet MusiCall quitte le monde des idées pour entrer dans le monde réel.
Et cette transition est galvanisante.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire